Deuxième quin (qua) zaine de septembre.
Détails:
Collier Sharing. Veste Mina. Cape Guy Laroche Vintage (c’était celle de ma môman).
« En demi-saison.
Jamais sans mes Bensimon! «
Déjeuner avec mon amie G:
« Ha, non! Je ne veux surtout pas que mon mec se fasse opérer de sa myopie. Je préfère qu’il continue à me voir floue quand je suis nue devant lui. »
Deux cinés:
Les recettes du bonheur de Lasse Hallström : Une famille indienne s’installe dans le sud de la France. Le fils a un don pour la cuisine. Elle ouvre un resto face à un haut lieu de la gastronomie française. Affrontements culinaire et culturel !
Un film bourré de clichés et de bons sentiments. Mais, c’est joyeux. Il met de bonne humeur et donne immédiatement envie d’aller se taper un poulet tikka massala. Et, je dois avouer que l’acteur américain Manish Dayal est lui aussi à croquer.
Mais, se pose alors LA question cinéphile : peut-on encore craquer sur un acteur qui pourrait être notre fils (si on l’avait eu très jeune)?
Pride de Matthew Warchus est tiré d’une histoire vraie. Thatcher ne cède pas aux exigences des mineurs en grève. Le conflit se durcit. Des activistes gays et lesbiens récoltent de l’argent pour venir en aide aux familles des grévistes. Quand ils débarquent dans le petit village du pays de Galles, le choc des communautés est « savoureux » Un film drôle, tendre et bourré d’énergie avec des acteurs épatants (j’adore cet adjectif légèrement désuet: épatant!) .
Un théâtre.
On s’est tous un jour dit: mais, pourquoi a-t-on encore accepté de dîner avec les Truchon? Pourquoi s’embarrasse-t-on d’amis si on n’a plus le temps, plus envie de les voir. Dans Un dîner d’adieu, Pierre ( Éric Elmosnino) et Clothilde (Audrey Fleurot) poussent le concept jusqu’à organiser des soirées d’adieu pour mettre fin à certaines de leurs relations. Antoine (Guillaume de Tonquédec) sera leur premier « dernier » invité.
Une bonne pièce, mais qui vaut surtout par la qualité des deux interprètes masculins (qui, ouf, pourraient, au pire, être mes frères cadets).
Achat pessimiste, mais lucide:
Bottines en caoutchouc Aigle.
Citation:
« La cinquantaine, c’est l’adolescence avec la Carte bleue »
Tirée du spectacle de Florence Foresti, « Madame Foresti » (pas encore vu, mais lu son interview dans Marie-Claire d’oct.)
Allez je vous laisse avec le plus torride des quiquas rockers; Lenny Kravitz qui sort un nouvel album.
Lui, il aurait l’âge d’être mon chéri. Je ne suis pas sûre que la réciproque soit vrai! En tous les cas, il sera au Zénith de Paris le 23 novembre. Mois aussi!
Clic pour voir le clip: http://vk.com/video43106368_169830375